Le disque trouve son origine dans le projet des Shadowpieces de Cindy Van Acker, répertoire d’une dizaine de solos chorégraphiés pour et avec les interprètes, dont Louis Schild. Chaque solo prend sa source dans un dialogue intime entre la matière sonore et corporelle. Le solo de Louis Schild a cela de particulier que sa chorégraphie se réalise sur un instrument (basse électrique) créant ainsi sa propre bande son et provoquant une interdépendance singulière entre mouvements et sons.