« Toutes les composantes d’un immense succès sont réunies pour ce Tannhäuser munichois signé Kirill Petrenko et Romeo Castellucci. Le metteur en scène italien donne à voir et à penser en réinventant un opéra qu’on croit redécouvrir à chaque instant. Le chef russe réalise la prouesse d’allier énergie et lisibilité chambriste, indéfectible soutien à un plateau superlatif. » — David Verdier, Wanderersite, 6 juin 2017

« Il y a bien des formes de modernité théâtrale, et la scène lyrique d’aujourd’hui sait accueillir les esthétiques les plus diverses. En invitant pour la première fois Romeo Castellucci, l’Opéra de Munich place sa nouvelle production de Tannhäuser dans une perspective moins narrative et plus proche des arts plastiques, dans la continuité, en quelque sorte, du Saint François d’Assise qu’avait monté il y a quelques années Hermann Nitsch – mais Castellucci, véritable homme de théâtre en même temps qu’homme de l’image, construit un spectacle beaucoup plus fort que celui de Nitsch. » — Dominique Adrian, Resmucia.com, 1er juin 2017