Dans Nodal, la composition est basée radicalement sur l’idée du volume qui se déplace et se transforme lentement, modulant ainsi le corps comme s’il portait en lui la mémoire d’un rocher. A partir de là, Cindy Van Acker a cherché à placer le langage corporel là où le mouvement peut alors passer de l’abstraction au réalisme. Le mouvement se situe alors sur un point de bascule où il peut garder sa qualité propre, accédant toutefois à une tonalité différente.