On cherche la déshumanisation corporelle et la déconstruction émotionnelle, utilisées non pas pour la réduction de la personnalité, mais pour la transcendance de celle-ci et pour l’obtention d’une nouvelle organicité. Malgré la reconnaissance des formes humaines, on travaille le corps comme une matière vivante pour tendre vers une confluence du mouvement, de la forme, de l’expression et de l’état. Ce sont là les principes fondamentaux résultants des années de recherche corporelle solitaire qui, dans la confrontation avec l’autre, ne pourrait, je l’espère, cesser de se développer et de s’accroître. — CVA