Après plusieurs pièces de groupe, la chorégraphe et danseuse Cindy Van Acker revient au champ d’expérimentations radicales que permet le solo. Elle renoue ainsi avec le travail de son propre corps sur scène, avec la plasticité extrême de l’humain qui peut faire apparaître autre chose que de l’humain, s’appuyant aussi sur l’utilisation de tous les éléments du spectacle pour troubler les sens du spectateur : lumière, son, scénographie.