Vinyl SP04
Disque
Chorégraphie Cindy Van Acker en collaboration avec les interprètes Interprétation Louis Schild Prise de son Gaspard Pahud Mix et mastering Antoine Etter Texte Thibault Walter Graphisme Rebecca Metzger & Pauline Piguet Typographie Raoul Audouin, Velvetyne Type Foundry Sérigraphie Atelier Obscur Production Cie Greffe Soutiens La Ville de Genève, la République et le Canton de Genève, Pro-Helvetia, Loterie Romande Fonds Regio Films, Ernst Göhner Stiftung
Vernissage 7 décembre 2022 à la Cave 12, Genève
Le disque trouve son origine dans le projet des Shadowpieces de Cindy Van Acker, répertoire d’une dizaine de solos chorégraphiés pour et avec les interprètes, dont Louis Schild. Chaque solo prend sa source dans un dialogue intime entre la matière sonore et corporelle.
Le solo de Louis Schild a cela de particulier que sa chorégraphie se réalise sur un instrument (basse électrique) créant ainsi sa propre bande son et provoquant une interdépendance singulière entre mouvements et sons.
La Shadowpiece 0 de Louis Schild est créée à La Bâtie Festival de Genève en 2019 parmi quatre autres solos dont la Shadowpiece IV interprétée par Maya Masse sur l’Art de la Fugue de Jean-Sébastien Bach. Avant les représentations, Maya Masse a l’habitude de répéter ses pas sur la Place Sturm où va avoir lien la performance, ses écouteurs vissés sur les oreilles pour ne pas perturber le calme des lieux.
Louis Schild assiste à plusieurs reprises aux répétitions et il se surprend à fermer les yeux pour jouir pleinement du bruit des pas de la danseuse sur le gravier. Jamais Jean-Sébastien Bach n’a sonné comme cela ! L’idée d’enregistrer le bruit des pas de la danseuse naît à ce moment-là, avec le désir d’explorer l’articulation entre les éléments partitions/ sons / mouvements de manière encore différente que dans la Shadow Piece 0.
L’enregistrement est réalisé au Studio Phonotope à Renens, en collaboration avec Thibault Walter, son principal enjeu étant de réfléchir à la meilleure manière d’enregistrer les deux soli, en considérant le fait qu’ils se retrouveront sur le même disque, l’un étant le verso de l’autre.
Louis Schild assiste à plusieurs reprises aux répétitions et il se surprend à fermer les yeux pour jouir pleinement du bruit des pas de la danseuse sur le gravier. Jamais Jean-Sébastien Bach n’a sonné comme cela ! L’idée d’enregistrer le bruit des pas de la danseuse naît à ce moment-là, avec le désir d’explorer l’articulation entre les éléments partitions/ sons / mouvements de manière encore différente que dans la Shadow Piece 0.
L’enregistrement est réalisé au Studio Phonotope à Renens, en collaboration avec Thibault Walter, son principal enjeu étant de réfléchir à la meilleure manière d’enregistrer les deux soli, en considérant le fait qu’ils se retrouveront sur le même disque, l’un étant le verso de l’autre.
